S’ils sont la génération numérique, les jeunes voient le logement comme un investissement financier rassurant, dans lequel ils sont prêts à se lancer sans crainte. Devenir propriétaire serait ainsi une priorité pour la jeune génération… avec des exigences toutefois.
Faire l’acquisition d’un logement, une sécurité pour les jeunes
Les jeunes aussi ont le souhait d’avoir leur « chez-soi » bien à eux. C’est ce que révèle une étude menée par la Fédération des Promoteurs Immobiliers en collaboration avec le cabinet Deloitte. L’acquisition d’un logement est vue comme « une sécurité » pour beaucoup d’entre eux et représente aussi « un investissement », de même qu’ « une marque de réussite sociale », dans une moindre mesure. Cependant, ces étudiants et jeunes actifs, âgés de 20 à 30 ans, ont une idée bien précise du logement qui leur conviendrait le mieux : une maison individuelle neuve située dans une ville moyenne.
Pour parvenir à cet idéal, les répondants à l’enquête se disent prêts à renoncer à plusieurs critères de confort comme la superficie des parties communes, la présence d’espaces verts privés et même l’utilisation de matériaux biosourcés. Ils projettent sur leur maison rêvée, des attributs assez classiques comme le fait d’être abordable, spacieuse, connectée, respectueuse de l’environnement et bien isolée. Raisonnables et sans doute guidés par les conseils de leurs aînés, les jeunes ont comme principaux critères de choix : le prix et la localisation. La clé de la réussite immobilière en somme !
Est-ce le moment de sauter le pas pour les primo-accédants ?
La crise économique, conséquence de la Covid-19, pose nécessairement des questions quant à la possibilité d’investir dans l’immobilier. Les professionnels du secteur, désormais équipés d’outils digitaux comme ce qui offrent la possibilité de réaliser des visites virtuelles ou de signer des documents à distance, voient toujours les demandes affluer. De leur côté, les conditions d’octroi du crédit immobilier ont été assouplies. Les dernières recommandations du Haut Conseil pour la stabilité financière (HCSF) permettent aux banques de prêter plus longtemps (27 ans en incluant un différé de remboursement de deux ans) avec un taux d’endettement plus élevé : 35% versus 33 %, ce qui donne une place nouvelle aux primo-accédants. Des jeunes, principalement. La tribu Immoprêt les accompagne volontiers dans leur recherche de financement. Experts mais aussi pro, simples et sympas, nos courtiers comparent les meilleures offres de crédit immobilier sur le marché et établissent un plan de financement sur mesure qui correspond au profil et au projet de chacun !
